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4 octobre 2008 6 04 /10 /octobre /2008 18:07

Arrêtez la musique, éteignez les lumières

Et sous le chapiteau désert,

faites entrer l’auguste, le clown noir.

 

Ecoutez,

 

Ecoutez à son œil perler une larme de craie,

Quand, dans un silence de linceul,

Il mime la mélopée du deuil

 

Ecoutez,

 

Ecoutez donc ses bras qui étreignent le vide,

Entamant, saccadés, un ultime fandango

Sur la scène aride du chapiteau

 

Ecoutez, non, n’applaudissez pas

Car l’auguste est déjà las

Et dans un dernier soubresaut

fond dans l’ombre, et s’éteint.

 

Rentrez chez vous braves gens,

En pays de lumière

Enlacez vos compagnes,

et embrassez vos frères.

 

Mais ne retournez pas au cirque ce soir

Sur la piste aux étoiles, désormais, il fait nuit noire.

 

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4 octobre 2008 6 04 /10 /octobre /2008 18:05

Abigael Mousqueton avait une passion. A l’heure où certaines tricotent en marmonnant des barboteuses allergènes pour les petits-enfants des autres, Abigael aimait à collectionner les files. Vêtue de sa popeline chargée de souvenirs, armée de son cabas rayé, elle se faufilait en catimini dans les allées pour se poster, tremblante et fébrile, au cœur des néants d’attente, au creux des files.

 


Tout y passait, de la poste au marché, en passant par la trogne rubiconde et joviale du boucher. Elle y passait ses jours, et ses soirées, dandinant son cabas expert entre un couple englué et un vieux célibataire, dans l’espoir secret de se voir contester, et brandir victorieuse une carte rose fané, autrefois vermeil. Les jours de peu d’affluence la laissaient sans sommeil, et elle se faisait un devoir de passer ses noëls dans les grands magasins, ses étés à Saint Juan les pins, les jours de grève sur le quai des gares, où sa mine incongrue choquait les voyageurs hagards.


Un jour qu’elle dodelinait gentiment, frétillante à l’idée d’une après-midi à la sécurité sociale, Abigael se fit renverser. On fit ce qui devait être fait, on alla la parquer dans le couloir d’attente des urgences débordées. Sentant son heure venir, elle se prit à douter, et voulu sans attendre passer en premier. Hélant l’infirmier qui passait par mégarde, elle lui dit : jeune homme, ne peut-on me soigner ?

Le pauvre homme, défait et résigné, lui répondit d’un haussement d’épaule : il va falloir patienter.


Ainsi mourut Abigael Mousqueton, dans une file comme elle l’aurait souhaité, mais en queue de peloton. Gageons qu‘à l’heure dernière du jugement, l’on verra au firmament, une petite vieille et son cabas arpentant les cieux, prête à resquiller.

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4 octobre 2008 6 04 /10 /octobre /2008 18:01

A l'ermitage d'Etat on a le droit de contempler les splendeurs florales du Parti. A l'ermitage d'Etat s'étoile, bien ordonnée, une flore d'apparat dument accréditée.

 

Douceur et beauté du social-réalisme, camarades hérissons oeuvrent en bonne entente avec leurs pairs pigeons, pour entretenir pelouses, fourrés et jardins pour la plus grande gloire du Kremlin. Au loin un jardinier surveille avec attention, faucille à la main, un Capitalia rampant, dont les feuillages trop entreprenants menacent le rouge vif des camélias.

C'est beau comme la Place Rouge un jour de défilé, l'Emitage un soir d'été.

 

Mais chut, nous ne devrions pas parler, les camarades écureuils sont toujours aux aguets, et le KGB nous ferait enfermer s'il savait. Car malgré les étoiles qui se mirent dans nos yeux, malgré le marteau qui câle nos mains, nous autres travailleurs restons  trop pâles pour l'oeil de Moscou. Seuls les cadres habilités peuvent encore arpenter, entre deux purges idéologiques, les allées du peuple en retrait.

 

C'est dommage, répond l'autre, mais à qui la faute. Allons plus de bruit, et comme dirait le camarade Lénine, sachons en prendre notre Parti.

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4 octobre 2008 6 04 /10 /octobre /2008 17:55

 

Représentation unique, ce soir au caveau Saint Estèphe,

Venez découvrir les choeurs enfiévrés de Saint Aimant les Gueuzes

La célèbre chorale mixte du couvent de Sainte Ursuline en Chardaigne,

et les saintes liqueurs de Saint Mignon de Provence

Cornettes frites à volonté!

Entrée gratuite pour les baptisés

 

L'affiche à base de pelure d'oignons des franciscains de l'Abbaye du Salut Messeigneurs fleurait bon le Saint Marcellin qui la maintenait au mur, et la canaille. En ces temps de trivialité agnostique, un peu d'esprit (de vin certes, mais d'esprit tout de même), paraissaît la meilleure chose à faire d'un jour du seigneur goûtu comme une hostie sans eau.

Aussi mes frères et moi avions décidé, ni une ni deux, et sans l'avis du supérieur, d'aller traîner nos chapelets dans cette cave tentatrice. Enfilant nos plus belles bures, et les sandales cirées, nous nous fîmes beaux comme des tonsurés de première classe, et partîmes gaiement chasser la cornette.
 

Le chemin, au milieu des vignes du seigneur, promettait à nos âmes pêcheresse une belle soirée. Déjà Frère Alceste, pourtant si peu disert d'ordinaire, commençait à babiller sur les belles de Sainte Sophie, et la Révérende Mère, qui venait d'arriver. Frère Isidore, mon aîné, paraissait déjà ivre à l'idée d'une Sainte Trinité, ce mélange de liqueurs herbacées si puissant, qu'il vous faisait voir Dieu, et lui parler en privé encore.

Quant à votre serviteur, il espérait bien goûter à tous ces fruits défendus sous l'oeil indulgent d'un créateur qu'il ne connaissait que trop bien. Quand on passe sa vie à aimer autrui, il faut bien trouver des compensations, non?

C'est tout auréolés des douces promesses d'une soirée de communion avec les enfants du Seigneurs, que nous parvinmes, le pied sale mais léger, à l'entrée du caveau Saint Estèphe, à la croisée des... Vous aimeriez connaître l'endroit, n'est-ce pas? Mais je ne peux rien révéler encore, moins vous en saurez, et plus pure sera votre âme.

 

A peine étions nous arrivés, donc, que nous fûmes accueillis de manière bien peu chrétienne par un Teutonique de la pire espèce, celle qui est armée. « Papeer », vociféra le gaillard en jetant sur nous le regard aimable d'un Luthérien en Chapelle Sixtine. « Papeer, Bitte! ».

Résistant au besoin impérieux de collaborer qui nous remontait du drapeau, nous entreprîmes de négocier. Mais le bougre manifestait à notre égard la compréhension et la sympathie d'un Torquemada en puissance, aussi fallut-il en passer par les Voies du Seigneur*, qui sont impénétrables, mais bien maîtrisées donnent des résultats assez satisfaisants.

Une fois le cerbère maîtrisé, baillonné et ligoté, nous lui administrâmes quelques saints sacrements cloutés au niveau du scrotum en guise d'Ave Maria, puis pénétrâmes le Saint des Saints.

Un escalier sombre s'enfoncait dans les entrailles d'Hadès, et nous le descendimes à pas mesurés, le nez aux aguets dans l'obscurité. En bas des marches, un rideau masquait l'entrée du lieu sacré. Un silence religieux baignait l'antichambre, et c'est curieux mais un peu déconfit que nous passâmes l'épaisse pourpre.

Un décorum de cathédrale nous y attendait. Les voûtes sculptées de mains florentines vibraient dans l'air épais, chargé de la fumée de cierges de consécration, aux musiques célestes de nonnes déchainées, qui, juchées sur l'autel servant de scène, louaient le seigneur d'un swing endiablé.

Des bars improvisés étaient montés dans chaque recoin, chaque alcôve, et résonnaient déjà des rires béats des pêcheurs confessés, et baptisés. Au centre de la salle, on avait aménagé une piste, et déjà quelques aventureux se faisaient de l'oeil en coin, glissaient imperceptiblement vers un déhanchement de qui de la hanche, qui du plevis, vers un sabbat exotique et païen.

 

Soudain, les trompettes de l'archange se sont mises à sonner, et l'air vibrillonnait de lumière céleste, et tous les corps, hommes et femmes de Dieu, tous se sont emmêlés, comme irrésistiblement attirés par une mécanique céleste! Tout a viré au bleu!
 

Et alors?


Alors, mon père, c'est là que je me suis réveillé...

 

* Les Bénédictins sont peu prolixes sur les Voies du Seigneur, véritable Art de la Guerre Sainte permettant à celui qui le maîtrise de contrôler le moindre muscle, la moindre pensée, et de se transformer en machine à emboutir, démembrer, étriper, décerverler, puis convertir hérétiques et mécréants. D 'ailleurs, les Voies du Seigneur ne sont qu'une rumeur, de même que le Saint Office n'est qu'un bureau d'archivages.

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4 octobre 2008 6 04 /10 /octobre /2008 17:52

Deux guimauves en lacets

s’emmêlaient dans l’alcôve

d’une machine mal axée

qui grondait comme un fauve.

 

Pétries de concert,

et tirées sans fin,

elles se massaient en mélée

pour sortir du pétrin.

 

Dehors, un forain bigarré,

rusé et hâbleur,

haranguait leur destin,

moustache lissée, bouche en cœur.

 

Et c’est par des tresses

qu’elles s’échappaient enfin,

pour finir, quel malheur,

en brassées pour un rien.

 

Enfants de cette histoire

retenez la leçon :

on a beau s’emmêler,

on finit macaron.

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4 octobre 2008 6 04 /10 /octobre /2008 17:49

Oyez bonnes gens, les mémoires fantastiques d’un poète sans deniers au pays des sans loi. L ’histoire débute, cela va de soi, d ’un « il était une fois ».

 

Aux confins des marées, loin, bien au delà des colonnes d ’Hercule, s ’étend, immense et minuscule, le royaume de flibuste. C’est un lieu incongru, aux reliefs changeants, au gré des flots et des vents. Ici, tous les marins sont braves, bien que de peu de foi, et le royaume compte chaque jour cent nouveaux rois.

 

Qu’un quelconque pendard fasse d’une rapine cale pleine, le voilà aussitôt élu capitaine. Alors, édenté mais heureux, il pose une main couturée à la barre, et voile au vent, vers le ponant repart.

 

Mais tout n’est pas simple dans l’empire des forbans. Si chacun est maître des sept mers dans son château ambulant, une fois à terre, l ’égalité sévit férocement. Point de maître à part Dieu ou Satan, les règles sont claires. Et quand survient un différend, le pirate étant par essence rétif au régime militaire, le conflit se règle sur le champ, et le sabre au clair.

 

Qu ’en est-il des corsaires, me direz-vous chers enfants ?

 

Le forban méprise ces chiens de guerre aux ordres de dirigeants, qui, là est la vraie misère, travaillent pour de l ’argent. Le flibustier, lui, n’a pas cette peine. Il ne trucide que ce qui le gène, ne pille que riche marchands et beaux galions de rois et reines.

 

Si l ’envie le prend de se faire honnête, soit, il quitte dignement ses congénères, et part en retraite déterrer son magot, et acheter une maisonnette, ou devenir gouverneur. Mais le plus souvent il n ’a que faire d’amasser. Ce qui lui plaît, c’est de dépenser, sans compter. D ’ailleurs, pour cela il lui manquerait des doigts.

 

Non, le citoyen de flibuste est un épicurien, un joyeux sybarite entouré de tristes luthériens. Et si sa terre sent le soufre, c’est qu ’il a regardé bien en face l ’enfer promis aux âmes bien nées, et que sans regret il s ’en est détourné.

 

Vous qui tremblez au nom de pirates, de scélérats écumeurs des mers, n ’oubliez pas qui, du soir au levant, écume vos terres, pille à coup de dîme, enlève vos enfants pour les mener à la guerre. A côté d ’eux, même le pire des forbans est un bienheureux.

 

Vous voici convaincus, convertis, assurés, vous partez dans l’heure, mais voulez être guidés ? Soit, voici sur la carte le chemin : suivez l’étoile du soir, et à bâbord jusqu’au matin. Mais n ’oubliez pas, pour y arriver il vous faudra la poudre de fée…
 

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4 octobre 2008 6 04 /10 /octobre /2008 17:44

Comme un goût d’égoût dans l’asphalte, j’ai le périph’ qui flanche.

 

Sous les néons vibrants d’une molle tiédeur, la laideur fanée du gestionnaire de risque baillant dans son costume lycra m’ennuie. Le pépiement aigri de la gestionnaire de paie, les seins flapis coulant sur les sièges, me strie. La morne platitude de l’étudiant imbécile, contant à coup de ah ouais ses exploits virils visionnés la veille sur un DVD de papa, m’écoeure.

 

Vade metro polis, la cité m’aigrit.

 

Et puis te voila. Chaque jour pareille, chaque fois différente, toujours indifférente. Tantôt brune, tantôt blonde, ou rousse flamboyante, minuscule oisillon ou gazelle rayonnante, toujours impressionnante. Tes regards sont incertains, toujours prêts à divaguer, dans la rame, sur les murs, les affiches placardées. Ou tel un rongeur affairé, dans un polar plongés.

Entomologiste de l’œil de biche, j’aime à les chasser, ces regards, rien qu’un instant, dans une fraction intime, les capturer. Puis te laisser aller, fière et lointaine, vers la vie que tu t’es créée.

 

Parler, t’aborder ? Qu’aurions-nous donc à échanger, coincés entre deux joueurs de violons, entre deux stations, entre la gare du nord et la porte de Brancion ? Non, plutôt rêver. Et dans le demi-sommeil qui chaque jour m’anime, au quai des transits interurbains, rendre hommage, sans façon, et pour reprendre la chanson (merci Georges) à toutes ces belles passantes, qui égaient mes pensées.

 

Cette ville est laide, c’est vrai, mais qu’elle est bien habitée.

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4 octobre 2008 6 04 /10 /octobre /2008 17:43

Mouvements d’approche en mode mineur

Aux soupirs s’accrocher en silence,

Monter d’un ton, et recommencer

 
Prendre la clé des chants pour se réveiller,

Là, en Ré, et vivre de si à même le sol

Sans Ut ni flûte, mais enchanté.

 
Dans l’intervalle,

prendre le temps de s’accorder,

sans syncoper, ni fuguer

 
Crescendo, ma non troppo

 

Respirer 
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4 octobre 2008 6 04 /10 /octobre /2008 17:37

Le vieil homme planteur est noir de chaux, blanc de suie, un peu café. Une peau usée et rebattue plisse encore hardiment aux commissures lorsqu’il entaille son visage d’un sourire édenté.
 

Au pied de sa cahute, le vieil homme planteur aime à fumer. Il fume, fume, fume tant et si bien qu’il est tout embrumé. Alors, du haut de son nuage goudronné, chapeau-claque en main et canne à bout doré, le vieil homme planteur entame une danse compliquée, à base de roulement d’osselets et de lombaires grippées. C’est un spectacle que le voir danser, Fred Astaire bourré d’arthrose, passant d’un geste vif, mais plus trop assuré, son pommeau d’or dans ses mains lacérées.
 

Mais ce que le vieil homme planteur préfère, là, au pied de sa cahute, sur son trône de fumée, c’est conter. Il conte comme seul un vieil homme sait le faire, chevrotant et passionné. Pour les assidus de l’école buissonnière, chaque jour il invente des histoires compliquées, improbables, voire tellement absurdes, qu’elles se sont vraiment passées.

Il débute toujours d’un ton neutre, presque distant, se fait prier. Puis lentement ses mains prennent le relais, arachnides tavelées d’insensées volutes, qui lèvent le rideau sur le spectacle des destinées.

Bientôt les héros dansent sous les yeux des enfants, le terrible Baron Samedi, la Babayana, et même Eschel l’insensé, tous se mêlent et s’entrelacent dans un ballet effréné, on en attraperait des suées.
 

Puis un ange passe au milieu d’un cercle de fumée. Il est fessu et bouclé, comme en l’église Sainte Anne. Le vieil homme planteur s’est absenté. Où est-il parti ? Seul le petit fessu le sait. Derrière ses paupières ridées l’œil semble vide. Les mains s’affaissent, commencent à baver sur le costume soudain trop grand. Les enfants s’interrogent, puis paniquent. Leur aurait-on volé ?

Un auriculaire titube, tremble, compte ses amis, puis tout le corps reprend le dessus. Conquérant des abîmes, le vieil homme planteur reperd ses esprits, et de nouveau se dresse, conteur acharné, pour présider aux destin de ses marionnettes du passé.
 

Les enfants sont ravis, et soulagés. Ce maudit angelot mériterait une bonne fessée, mais déjà il s’est effacé, perdu dans les brumes qui se sont installées.
 

Quand les enfants sont partis, la tête emplie d’histoires terrifiantes à déformer, le vieil homme planteur s’assied au pied de sa cahute, et rallume un mégot bien tassé. Il contemple son univers, ses pensées, ses balivernes, et salue d’un sourire la faucheuse qui, aujourd’hui encore, ne faisait que passer.

 

Bonne voisine, la faucheuse rend au vieil homme son sourire édenté. Pour rien au monde elle ne manquerait les histoires du vieil homme planteur.

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4 octobre 2008 6 04 /10 /octobre /2008 17:31

Un point de théâtre se dresse, incongru, au beau milieu d’un vers.

 

De quoi faire pleurer Racine, et même étonner Molière.

 

 

Scruté à la loupe, analysé, tracé, il est l’objet de tous les soins. De tous les recoins de l’hémisphère,
les experts émergent pour se pencher sur ce signe abscons. 
Quelle était l’intention de l’auteur ? Quelle substantifique moelle tirer de cette ponctuation ?

 

 

Armés de leurs plus précieux ouvrages, bésicles au poing, sémiologues, linguistes, grammairiens,
philologues en perdition, entomologistes du verbe et archéologues des significations,
tous se rassemblent, tergiversent et glosent, se bousculent et se renversent, pour résoudre le mystère de ce point mal encré.

 

 

Prenant possession du problème, ils le tournent en tous sens, le retournent, le détournent, se perdent en débats,
se retrouvent en colloques, à ce point obsédés textuels, qu’ils en frisent la folie, tombent dans la neurasthénie,
pour abandonner un à un.

 

 

Mais ces diptérophiles peuvent bien s’échiner à chercher dans les astres, la bible, 
le Robert, et même sur l’air des lampions, à percer l’énigme de ce point malvenu. 
Le peuple des mouches, lui sait bien, et c’est centenaire, sa large contribution à l’œuvre littéraire.
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