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23 octobre 2008 4 23 /10 /octobre /2008 12:47

Comme c'est beau de l'air

Sur ta peau linéaire

Ah, qu'il est ton rein beau 

Clamait le père Hugo



Au pied de la fontaine

Je suis bien mal armé

Pour te toucher vers l'aine

Devant monsieur l'abbé



Fuyons vers le pré vert

Ne prenons pas racine

Et entonnons ces airs



Que mon coeur est vaillant

Allons viens là Martine

Jouons aux saints amants



Ainsi claironnait sous postiche, le poète idiot enfiévré

Pour la belle potiche qu'il comptait subjuguer

Bien mal lui en prit, quand il se fut révélé,

La belle ne sut que pouffer : "bah quand j'la vu, j'a ri"
 
 

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commentaires

M
Rions, oui, mais à juste mesure !
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A
Un peu der<br /> dis le jeune premier...<br /> <br /> DPx
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G
C'est un peu fort PAL, alors qu'à cela ne tienne, ne faisons pas le maraud et gobergeons nous envers et contre tous ! que vive le poète idiot !
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