23 octobre 2008
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Comme c'est beau de l'air
Sur ta peau linéaire
Ah, qu'il est ton rein beau
Clamait le père Hugo
Au pied de la fontaine
Je suis bien mal armé
Pour te toucher vers l'aine
Devant monsieur l'abbé
Fuyons vers le pré vert
Ne prenons pas racine
Et entonnons ces airs
Que mon coeur est vaillant
Allons viens là Martine
Jouons aux saints amants
Ainsi claironnait sous postiche, le poète idiot enfiévré
Pour la belle potiche qu'il comptait subjuguer
Bien mal lui en prit, quand il se fut révélé,
La belle ne sut que pouffer : "bah quand j'la vu, j'a ri"